Les travaux d'entretien étaient enfin terminés et Ankou De Coëtivy avaient invité ses proches parents et amis à redécouvrir les lieux après travaux.
C'est vrai qu'il a fière allure, ce château, pensais-je en remontant l'allée du parc qui menait à la porte.
Arrivé devant l'entrée, je lève les yeux et découvre le blason familial qui trône fièrement au dessus du porche. Je frappe le heurtoir (une tête de corbeau, rien d'étonnant icelieu)contre la lourde porte.
Demat,viens donc m'ouvrir, cher Ankou, la route fut longue et je meurs de soif. Ne me fais pas attendre derrière la porte ou je vais perdre ma langue tant elle est sèche!!
Je patiente en attendant que la porte s'ouvre