Pressé par l'orage, Beloythes hatait le pas vers le domaine qu'il lui avait été mandé de rejoindre. Ses voyages réguliers commençaient à lui peser et l'arrivée du printemps annonçait un temps de plus en plus humide. Les chemins étaient ruisselants et il fallait faire attention à ne pas mettre les pieds dans des trous et se tremper les chausses.
Arrivé devant la poterne, il héla, éspérant qu'on lui répondrait rapidement.